Sous-titre de l'image ici.
Les ingrédients d’un bon porte-parole
On estime trop souvent que la personne qui doit soutenir les projets à l’extérieur est celle qui en est responsable. Pourtant, le décideur n’a parfois ni le temps, ni les compétences, ni même de plaisir à être le porte-parole de l’entreprise. Qui peut alors endosser ce rôle ? Un collaborateur qui a forcément une certaine légitimité : il doit connaître son sujet et faire partie du corps du projet, même si encore une fois son insight n’a que peu de rapport avec sa position dans la hiérarchie. Par ailleurs, ce porte-parole doit être représentatif de l’organisation, incarner l’image que vous voulez en renvoyer.
Le mediatraining
Être un bon porte-parole, comme beaucoup de choses, ça s’apprend. Bien choisir son porte-parole facilitera cette formation, en désignant un collaborateur qui a déjà les soft skills du bon personnage public : aisance à l’oral, confiance en soi, dans le projet, capacité à vulgariser - voir notre article sur la vulgarisation - et pourquoi pas une certaine forme de charisme. Il doit également y prendre du plaisir ! On fait tellement mieux les choses quand on en tire une satisfaction… Le coaching et le mediatraining finiront de spécialiser votre porte-parole, et Visigo se fera un plaisir d’accompagner cette formation.
Tout le monde peut-il prendre la parole au nom de l’entreprise ?
Aucun rapport à la hiérarchie, importance des soft skills, mais qui désigner alors ? Nommer un porte-parole, c’est aussi l’occasion de la libérer, cette parole, de rendre les collaborateurs responsables. Ça permet de relâcher un peu le contrôle et la validation, car être garant de la parole amène à contrôler soi-même la qualité et la pertinence de ce qu’on défend. C’est ainsi que GRDF a responsabilisé ses employés, en mettant sur le devant de la scène des portes-parole pour chaque service. Distribué avec parcimonie aux bons collaborateurs dans des secteurs-clés, le rôle de porte-parole peut avoir une toute nouvelle utilité à votre organisation.